Consonne fricative alvéolaire voisée

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Consonne fricative alvéolaire voisée
Symbole API z
Numéro API 133
Unicode U+007A

X-SAMPA z
Kirshenbaum z

La consonne fricative alvéolaire voisée est un son consonantique très fréquent dans de nombreuses langues parlées. Le symbole dans l’alphabet phonétique international est . Ce symbole est celui de la lettre latine Z minuscule.

Dans certaines langues, il peut être syllabique, , comme en chinois ; palatalisé, , comme en slave (on parle alors de consonne mouillée).

Caractéristiques

Voici les caractéristiques de la consonne fricative aléolaire voisée :

  • Son mode d'articulation est fricatif, ce qui signifie qu’elle est produite en contractant l'air à travers une voie étroite au point d’articulation, causant de la turbulence.
  • Son point d'articulation est alvéolaire, ce qui signifie qu'elle est articulée avec soit la pointe (apical) soit la lame (laminal) de la langue contre la crête alvéolaire.
  • Sa phonation est voisée, ce qui signifie que les cordes vocales vibrent lors de l’articulation.
  • C'est une consonne orale, ce qui signifie que l'air ne s’échappe que par la bouche.
  • C'est une consonne centrale, ce qui signifie qu’elle est produite en laissant l'air passer au-dessus du milieu de la langue, plutôt que par les côtés.
  • Son mécanisme de courant d'air est égressif pulmonaire, ce qui signifie qu'elle est articulée en poussant l'air par les poumons et à travers le chenal vocatoire, plutôt que par la glotte ou la bouche.

En français

Le français n’est pas une consonne alvéolaire, mais dentale. Pour marquer la différence, le symbole avec un diacritique supplémentaire est utilisé. Il s'écrit s entre voyelles ou z, généralement dans les mots empruntés au grec.

Exemples de prononciation du en français : rose, hasard, zoo, vizir.

Autres langues

L'italien possède le , par exemple dans les mots rosa, asma et sbavare.

Le latin, comme certaines autres langues indo-européennes, ne possédait pas le son , et la présence d'un entre voyelles qui ne pouvait se voiser a conduit au rhotacisme.

En allemand, le s se prononce en début de mot lorsqu'il est suivi d'une voyelle : sie, sowie, etc.

Voir aussi

Sources

  1. Kristoffer Nyrop (trad. Emmanuel Philipot), Manuel phonétique du français parlé, Copenhague, Der Nordiske Forlag, , 2e éd. (lire en ligne), p. 18