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Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
Titre français et original : Exodus: Gods and Kings
Source et légende : version française (VF) sur RS Doublage et AlloDoublage
Source et légende : version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca
Production
Genèse et développement
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Attribution des rôles
Le , le site Deadline.com rapporte que le réalisateur Ridley Scott souhaite que l'acteur britannique Christian Bale interprète le rôle principal du film, Moïse, ce qui est confirmé le 13 août. Le même jour, l'acteur australien Joel Edgerton est annoncé pour jouer le rôle de Ramsès, alors que la production débute au mois de septembre 2013. Le 27 août, l'américain Aaron Paul rejoint la distribution pour interpréter Josué. Sigourney Weaver, Ben Kingsley et John Turturro sont également engagés pour le film.
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Exodus: Gods and Kings reçoit des critiques globalement négatives. La presse apprécie cependant, en général, les performances des acteurs et la technique du film mais pointe du doigt son manque de rythme, son scénario assez mince et son manque de développement des personnages. Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, le film ne récolte que 30% d'opinions favorables pour 210 critiques et une note moyenne de 5⁄10. Le consensus suivant résume les critiques compilées par le site : « Bien que sporadiquement remuant et convenablement épique dans ses ambitions, Exodus: Gods and Kings ne peut pas tout à fait être à la hauteur de son matériel-source classique ». Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 52⁄100 pour 43 critiques.
En France, le film obtient une note moyenne de 3,2⁄5 sur le site AlloCiné, qui recense 30 titres de presse.
Box-office
Après un budget de production estimé entre 140–200 millions de dollars, le film en récolte plus de 268 millions dans le monde.
Le film a suscité la polémique aux États-Unis sur les réseaux sociaux essentiellement à cause de la répartition des rôles entre Blancs et Noirs, les premiers étant choisis pour représenter Moïse et l’entourage du pharaon, les seconds pour les rôles d’esclaves et de voleurs,.
Le film a été momentanément déprogrammé des salles de cinéma au Maroc le , en raison d'une scène représentant Dieu (sous les traits d'un jeune enfant). Après négociation avec la Fox et suppression des deux passages sonores faisant allusion à la voix divine, le CCM a autorisé sa diffusion en salle la semaine suivante.
Le film a été censuré en Égypte le lendemain et dans les Émirats arabes unis le surlendemain, en raison des « erreurs historiques et religieuses » que véhicule le film. L'existence d'un esclavage en Égypte antique fait en effet l'objet de débats parmi les égyptologues, aussi bien dans sa définition que dans son application. Les spécialistes s'accordent pour dire que l'esclavage, tel qu'il se pratiqua dans la Grèce antique, n'a pas existé en Égypte avant la période ptolémaïque (période et dynastie fondées par la civilisation grecque), même si des formes de servitude ont pu exister. Les égyptologues considèrent que la question de l'esclavage dans l'Égypte pharaonique doit être entièrement revue à la lumière de sources élargies et actualisées de l'égyptologie. L'archéologue et égyptologue Bernadette Menu explique par exemple que l'examen de ces sources montre que ceux appelés "dépendants" sont « des hommes libres, intégrés dans les rouages politico-économiques de l'État, jouissant d'une mobilité à la fois géographique et statutaire, et disposant des mêmes droits et des mêmes devoirs que l'ensemble de la population », alors que le film montre une image complètement opposée à cela avec des esclaves ouvriers contraints et fouettés.
Avec une vision plus « radicale » du prophète, lors d'une rencontre avec la presse à Los Angeles, en , Christian Bale déclare : « Je crois que cet homme était un schizophrène en puissance, et l'un des individus les plus barbares dont j'ai jamais pu lire l'histoire C'était un homme tourmenté et tumultueux, qui se battait contre Dieu et contre son appel. » Une partie du public a reproché au film d'être anachronique et d'être composé d'acteurs blancs pour les rôles principaux et d'acteurs noirs pour les esclaves