Dans le monde globalisé d'aujourd'hui, Marc Perelman est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour diverses industries et sociétés. Depuis son impact sur l'économie, la politique, la culture et même la vie quotidienne des gens, Marc Perelman a acquis une importance considérable dans le monde entier. Au fil du temps, Marc Perelman continue de faire l'objet de débats et d'analyses, créant à la fois des opportunités et des défis pour ceux impliqués dans son étude et sa compréhension. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Marc Perelman, son influence dans différents domaines et comment son évolution a marqué un avant et un après dans l'histoire contemporaine.
Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'architecture et la sociologie du sport, notamment en collaboration avec Jean-Marie Brohm, tous deux tenants « de la théorie critique du sport. Pour ces auteurs, le sport constitue le principal facteur d’aliénation de notre temps ». Marc Perelman a également développé une approche très critique de l’œuvre théorique et architecturale de Le Corbusier.
Il a créé et dirigé Les Éditions de la Passion de 1986 à 2004. De 2004 à 2014, il a été le directeur de la collection Art et architecture aux éditions Verdier. Il dirige depuis 2007 la collection Livre et société aux Presses universitaires de Paris Nanterre.
Œuvres
Liste non exhaustive.
Urbs ex machina. Le Corbusier. Le courant froid de l'architecture, Montreuil, Les Éditions de la passion, 1986
Le stade barbare, Mille et une Nuits, 1998, 78 p. (ISBN2-84205-197-1)
Le Football, une peste émotionnelle, avec Jean-Marie Brohm, éd. Folio Actuel, 2006
coord. avec Pierre Hyppolite, Le Corbusier. L’art de se loger et de le dire, Presses de Paris Nanterre (Architecture, littérature et espaces), 2020, 288 p. (ISBN978-2-84016-365-7)
↑L'esprit de ce pamphlet « nuit beaucoup à la crédibilité de l’argumentaire d’un ouvrage qui se veut de référence. Malgré les précautions de ses « prolégomènes », Perelman ne parvient jamais à contenir son rejet viscéral du sport et de son cadre bâti, le stade. Quand l’analyse nécessiterait de la rigueur et de la précision, c’est trop souvent l’aigreur obsessionnelle et les caricatures qui dominent ». Cf Jean-Marc Huitorel, « Marc Perelman. L’Ere des stades », Critique d'art, no 36, .