Dans le monde d'aujourd'hui, Vison est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour une grande variété de personnes. De son impact sur la société à ses implications sur la vie quotidienne, Vison a retenu l'attention d'individus de tous âges et de tous horizons. En abordant ce sujet, il est crucial d’en explorer les différents aspects, depuis ses origines jusqu’à son évolution dans le temps. Dans cet article, nous analyserons en détail Vison et ses implications dans divers domaines, dans le but de fournir une vision complète et approfondie de ce sujet si d'actualité aujourd'hui.
Vison est un nom vernaculaire ambigu en français, pouvant désigner plusieurs espèces différentes de petits mammifères de la famille des Mustélidés, répartis dans différents genres. Ce nom vernaculaire est aussi à l'origine de plusieurs noms normalisés ou de noms vulgaires créés pour la nomenclature scientifique en français.
Le mot « vison » peut être issu du latin vulgaire viso, -onis, variante du bas latin des gloses visio « vesse », vissio « puanteur », en référence à l’odeur forte se dégageant de leur marquage territorial .
Noms français et noms scientifiques correspondants
Liste alphabétique des noms vulgaires ou des noms vernaculaires attestés en français. Note : certaines espèces ont plusieurs noms et les classifications évoluant encore, certains noms scientifiques ont peut-être un autre synonyme valide.
Les deux premières sont deux espèces distinctes, à capital génétique différent. Le vison d'Amérique est beaucoup plus gros (1,5 à 2 kg) que le vison d'Europe (0,8 à 1 kg). La qualité exceptionnelle de sa fourrure a fait du vison l'un des animaux les plus recherchés pour celle-ci. Une espèce s'est éteinte au XIXe siècle.
Ces animaux sont élevés principalement au Danemark pour leur fourrure, mais aussi pour obtenir l'huile de vison et autres produits de valorisation des carcasses.
Les conditions de maintenance de ces animaux dans les fermes d'élevage en batterie sont régulièrement dénoncées par des associations militant contre la cruauté et pour le respect du bien-être animal par cette branche de l'industrie du luxe
Les visons constituent un réservoir de zoonoses potentiellement transmissibles à l'homme.
En novembre 2020, alors que le rôle du pangolin dans la propagation de la Covid-19 est progressivement écarté par les chercheurs,, dans un article du blog Les Crises du 7 janvier, le sociologue et journaliste pour le journal Reporterre Yann Faure expose des données attestant la possibilité que les élevages de vison chinois aient pu jouer un rôle dans l'émergence du Covid-19,,,. En duo avec le journaliste scientifique Yves Sciama, ils réalisent une enquête pour Reporterre entre novembre et décembre 2020 qui sera reprise par de nombreux médias,,.
Le 8 janvier, un article publié dans la revue Science confirme que l'hypothèse présenté par Reporterre mérite d'être étudiée.
Le 4 novembre 2020, le gouvernement danois a décidé d'abattre les 17 millions de visons en raison d'une mutation du virus COVID-19. Après cet abattage massif, l'élevage de visons est à nouveau autorisé au Danemark depuis le 1er janvier 2023.
Animaux sauvages
En Utah et en Angleterre des visons s'échappent d'une ferme d'élevage et conduisent ainsi à l’établissement, par marronnage, d'une population de visons sauvages dans les territoires à l'entour.
Notes et références
↑Attention aux appellations et traductions fantaisistes circulant sur l'Internet